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La pilule contraceptive est la première méthode de contraception orale utilisée par les Françaises. Une efficacité souvent insuffisante, mais pas toujours dangereuse pour la santé. Il existe cependant des médicaments de la pharmacie en vente libre (OMOV) comme estradiol et norethisterone, qui ne sont pas prescrits par un médecin.
Depuis la fin des années 1990, la contraception orale est la première méthode de contraception utilisée en France. Les femmes qui souhaitent éviter une grossesse non désirée optent pour une contraception hormonale. L'utilisation de ces médicaments se fait sur prescription médicale.
Première pilule du marché (2011), la pilule contraceptive est le premier choix pour les Françaises qui ne sont pas encore mariées mais souhaitent utiliser une méthode de contraception. Elle peut être prise pendant les rapports sexuels, à n'importe quel moment de la journée ou la nuit, à la demande ou à la demande.
C'est la plus prescrite des méthodes de contraception. Elle permet d'éviter toute grossesse en bloquant la sécrétion des hormones féminines. Elle est donc efficace pour éviter une grossesse non désirée après un rapport sexuel, mais elle ne protège pas contre les infections sexuellement transmissibles (IST) et la transmission du virus de l'immunodéficience humaine (VIH).
Les pilules contraceptives combinées combinent 2 principes actifs : la progestérone et la noréthistérone. La première est une hormone sexuelle féminine secrétée par les ovaires, la seconde une hormone sexuelle masculine secrétée par les testicules.
Après avoir été commercialisée sous le nom de Cerazette, la pilule a été modifiée en 2004 et le nom de la pilule progestative a été abandonné en 2011. Il s'agit de la pilule du lendemain. Les pilules de deuxième génération ou pilules microdosées, qui contiennent un progestatif synthétique, ont été créées en 2007 et commercialisées à partir de 2009.
La dernière génération de pilule est la pilule progestative seule. La pilule du lendemain est la pilule du surlendemain. Les pilules progestatives de deuxième et troisième génération sont prescrites en cas de contre-indication de la première génération de pilule. Les pilules de troisième génération, qui sont les pilules progestatives de dernière génération, sont prescrites en cas de contre-indication de la pilule du lendemain. Ce n'est que depuis 2013 que les pilules de deuxième et troisième génération peuvent être prescrites par un médecin généraliste, en l'absence de contre-indication.
L'usage des pilules contraceptives est resté très faible : en 2011, elles n'étaient utilisées que par 1 % des femmes en France. En revanche, la prescription de la pilule est en hausse, et concerne des femmes de plus en plus jeunes : la prescription de pilules est très fréquente entre 20 et 39 ans (46 % des femmes).
Les pilules contraceptives se présentent sous forme de plaquettes.
Leurs effets ne se manifestent qu'au bout de quelques semaines de traitement. La pilule est dosée en progestérone et en œstrogène. Ces hormones interagissent pour bloquer la libération des hormones dans le sang.
Les pilules contraceptives contiennent de la lévonorgestrel (60 %). L'éthynilestradiol (20 %) et la noréthistérone (10 %) sont les principes actifs de ces pilules.
Ces pilules contraceptives contiennent 10 μg de progestérone et 0,15 mg d'œstrogène. Elles sont prescrites à des doses plus élevées que les pilules de première et deuxième génération. En effet, ces dernières ne contiennent que 5 μg de progestérone et 0,5 mg d'œstrogène. Les pilules progestatives de troisième génération, qui ont été créées en 2013, contiennent 15 μg de progestérone et 2,5 mg d'œstrogène.
En cas de règles sous pilule, le flux sanguin s'interrompt au niveau de l'utérus et le corps de la femme ne se contracte pas. La prise d'un contraceptif oral peut se faire le jour ou la nuit, à la demande ou à la demande.
Le dosage de ces pilules dépend de la sensibilité de la patiente à ces hormones et de sa situation médicale.
Pour les femmes de plus de 35 ans, la pilule progestative seule ou de troisième génération n'est prescrite que sur avis médical. Le traitement nécessite généralement un traitement antibiotique ou un anti-inflammatoire.
Les femmes de plus de 35 ans et en bonne santé peuvent utiliser une pilule progestative de deuxième génération sans problème. Elles doivent toutefois prendre leur traitement en continu, même lorsque le cycle menstruel ne se présente pas.
Les femmes de 35 ans et moins, à la suite d'une fausse couche ou d'un avortement récent, ne doivent utiliser que des pilules progestatives de troisième génération. Dans ce cas, il est conseillé d'augmenter la posologie à 1,5 mg par jour, de manière progressive.
Les femmes de moins de 35 ans qui souffrent de troubles hormonaux tels que l'endométriose ne doivent pas utiliser de pilule contraceptive. En effet, cette pilule peut provoquer une augmentation du volume de l'endomètre, ce qui peut augmenter le risque d'endométriose.
Une autre contre-indication concerne les femmes dont la thyroïde est sous-active. Cette pilule ne doit pas être prise pendant la grossesse ni chez une femme qui allaite à moins que le médecin n'estime que les risques sont faibles.
En cas de grossesse, le traitement doit être interrompu pendant le premier mois.
Le traitement est possible après l'accouchement, si la femme a une hygiène de vie irréprochable et qu'elle suit un traitement contraceptif.
Le traitement par pilule contraceptive peut entraîner des maux de tête, des douleurs abdominales, des nausées, des maux d'estomac ou des saignements vaginaux. Les femmes peuvent aussi avoir des règles plus abondantes, mais cela disparaît généralement une fois le traitement terminé.
La pilule peut provoquer des vertiges et des douleurs mammaires chez les jeunes femmes. Il est conseillé de limiter la prise de pilule à la durée d'une relation sexuelle, pour éviter tout risque de grossesse.
Il est possible d'augmenter la dose de pilule progestative pour réduire le risque de migraines.
Il est également possible de prendre de la vitamine B6 pour diminuer les symptômes de la migraine.
La pilule peut entraîner des règles plus abondantes et plus longues. Les femmes qui prennent la pilule doivent respecter les règles en matière d'hygiène intime et de toilette.
Si les règles ne s'arrêtent pas, la femme peut être amenée à prendre la pilule à la demande.
Certaines femmes peuvent avoir des règles abondantes pendant un traitement contraceptif.
La prise de pilule peut entraîner des troubles du rythme cardiaque : les femmes doivent se tenir à distance des sources de bruit.
Enfin, la pilule peut entraîner des douleurs articulaires et musculaires : cela est d'autant plus probable si le traitement est prolongé.
Certaines femmes peuvent avoir des troubles du cycle : elles doivent être suivies de près par un médecin.
Enfin, si une femme ne respecte pas les règles de traitement ou si elle développe des effets secondaires, il est nécessaire de consulter un médecin.
Les médicaments contre la dysménorrhée
Le médicament le plus utilisé contre la dysménorrhée est le diénogest (appelé Dianette), une progestérone synthétique. Il est disponible sans ordonnance.
En revanche, la plupart des médicaments contre la dysménorrhée ne sont pas indiqués chez les femmes de moins de 18 ans.
Le diénogest est généralement prescrit aux femmes qui souffrent de règles très douloureuses. La prise de diénogest peut aussi provoquer des saignements plus abondants et prolongés.
Le diénogest peut être utilisé avec d'autres médicaments pour traiter les règles douloureuses.
Le diénogest peut également être utilisé pour prévenir les règles douloureuses. Le diénogest peut être pris à la demande, pendant ou après les règles.
Le diénogest peut être pris avec d'autres médicaments, notamment ceux qui combattent la rétention d'eau.
Le diénogest n'est pas indiqué en cas de règles douloureuses dues à des maladies cardiovasculaires ou au syndrome des ovaires polykystiques.
Le diénogest est également disponible sous forme de crème et de comprimés.
Le médicament le plus utilisé contre les règles douloureuses est la térazosine (appelée Térazosine Diosmin).
